CFP for Congress 2020
CFP: CCLA/ACLC Congress 2020 – Bridging Divides and Confronting Colonialism and Anti-Black Racism via Comparative Literature
Bridges are powerful symbols. The German group of early 20th century expressionists chose the name Die Brücke to suggest connections across time. Cherríe Moraga and Gloria Anzaldúa evoke feminist discourse on the body with their title This Bridge Called My Back. We associate uncomfortable circumstances with the use of the word in crossing the bridge when we get to it, or in burning bridges. More frequently, however, it implies a defeat of obstacles. As connections between shores or hills, bridges allow for the continuation of journeys. Figuratively speaking, they are at the core of comparatist work.
From May 31 to June 2, as part of the Congress of the Humanities and Social Sciences of Canada hosted by Western University in London, Ontario, the Canadian Comparative Literature Association (CCLA/ACLC) invites scholars to explore the theme “Bridging Divides and Confronting Colonialism and Anti-Black Racism via Comparative Literature.” How does Comparative Literature mediate between divides pertaining to language, culture, race, genre, gender, sexuality, media, periods, and movements? To what extent does Comparative Literature address the divides between human and other-than-human, or post-human textualities? How does it bridge gaps between theory and application? What are the ways in which Comparative Literature investigates cinema and digital storytelling? How does it confront colonialism and anti-Black racism?
Please submit 250-300 word abstracts for 20-minute presentations as Word attachments to Program Chair Dr. Doris Hambuch (aclccongres2020@gmail.com) by December 15, 2019.
Proposals for pre-arranged panels, roundtables or other formats are also encouraged.
Confirmed plenary speaker: George Elliott Clarke
Appel à communications: Congrès 2020 de l’ACLC/CCLA – Créer des ponts et combattre le colonialisme et le racisme anti-Noir.e.s par la littérature comparée
Le pont est un symbole fort. Au début du vingtième siècle, un groupe d’expressionnistes allemands choisit le nom Die Brücke pour évoquer des liens créés à travers le temps. De la même façon, Cherríe Moraga et Gloria Anzaldúa évoquent le discours féminisme sur le corps avec leur titre This Bridge Called My Back. Les expressions « nous traverserons la rivière quand nous serons rendus au pont » ou « couper les ponts » évoquent quant à elles des circonstances inconfortables. Plus fréquemment, toutefois, le pont implique le fait de triompher des obstacles. En tant que liens entre rivages ou entre collines, les ponts permettent la poursuite du voyage. Au sens figuré, ils sont au cœur du travail comparatiste.
Du 31 mai au 2 juin 2020, dans le cadre du Congrès des sciences humaines du Canada qui se tiendra à Western University à London, Ontario, l’Association Canadienne de Littérature Comparée (ACLC/CCLA) invite les chercheuses et chercheurs à explorer le thème « Créer des ponts et combattre le colonialisme et le racisme anti-Noirs.e.s par la littérature comparée ». De quelles façons la littérature comparée sert-elle de médiatrice entre langues, cultures, races, genres littéraires, genres sexuels, sexualités, médias, époques et mouvements? À quel point la littérature comparée s’occupe-t-elle des divisions entre les textualités humain.e.s et non-humain.e.s ou post-humain.e.s? Comment permet-elle de faire le pont entre théorie et pratique? De quelles façons la littérature comparée étudie-t-elle le cinéma et la narration numérique? Comment confronte-t-elle le colonialisme et le racisme anti-Noir.e.s ?
Veuillez soumettre vos propositions de 250 à 300 mots pour une présentation de vingt minutes en pièce jointe (format Word) à Dre Doris Hambuch (aclccongres2020@gmail.com) avant le 15 décembre 2019.
Les propositions pour des séances thématiques, des tables rondes ou des présentations au format novateur sont les bienvenues.
Conférencier d’honneur : George Elliott Clarke